Salon Femmes br@nchées 91 : Taien Ng-Chan

Participant·e·s

Présentation de l’artiste en résidence Taien Ng-Chan
Le mercredi 6 juin 2012, 19h
4001, rue Berri (coin Duluth) espace 201
Entrée: 5$, *GRATUIT* pour les membres
Hors d’œuvres et rafraîchissements seront servis

Afin de clôturer la saison 2011-2012, le Studio XX est fier de présenter, dans le cadre du Salon Femmes Br@nchées 91, le résultat du travail de résidence de Taien Ng‐Chan et son projet Essaie, qui a eu lieu du 16 avril au 6 juin. Sous le thème des cartographies de la ville, Emilie O’Brien ainsi que Joanna Donehower, collaboratrices du projet, nous présenteront également leurs points de vue. Prenez note que le lancement du numéro 24 de la revue électronique .dpi sous le thème Fashion/Textile/Technologie, dirigé par la rédactrice en chef invitée Ying Gao, est reporté.

« Ma résidence dans le cadre des archives Matricules a impliqué la recherche de projets du Studio XX qui traitent d’art in situ et/ou de culture urbaine, l’histoire des femmes et de la technologie dans la ville, et finalement, pour construire un essai-vidéo interactif accessible sur le Web. Essaie présente un point de vue ou une carte d’un plus large projet de cartographie psycho-géographique de Montréal, intitulé Poetics of the City. Essaie tentera ainsi de cartographier une archive. »

Taien Ng-Chan est écrivaine et artiste médiatique. Elle étudie la poétique du quotidien en milieu urbain par le cinéma expérimental et la cartographie. Ses œuvres comprennent le site Détours (récemment lancé à la Biennale internationale d’art numérique), un livre/cd multimédia, Maps of Our Bodies and the Borders We Have Agreed Upon, ainsi que deux anthologies, Ribsauce et Navigating Customs. Son court-métrage The Red Ribbon a remporté le prix Location Michel Trudel de l’Université Concordia où Taien a obtenu une maîtrise en beaux-arts (MFA) et où elle termine un doctorat en cinéma et études urbaines. Pour en savoir plus : www.soyfish.net

Joanna K. Donehower est auteure, dramaturge et étudiante en doctorat à l’université Concordia. Sa recherche doctoral et pratique artistique croise la performance, les arts visuels et la théorie littéraire. Son projet récent Curiocity, un musée mobile en miniature de la rue Ontario, retient la curiosité, la merveille et l’errance en tant que concepts créatifs et critiques ainsi que des pratiques de reconsidération de l’espace.

Emilie O’Brien est artiste et vit à Montréal. Elle crée, par des procédés lents et souvent improvisés, des œuvres textuelles, des peintures, des sculptures et de la vidéo. Ses projets questionnent souvent la fragmentation et les multiples facettes d’un tout en explorant particulièrement les connexions et déconnexions qui s’établissent entre elles. Sa carte Notes de terrain (Field Notes) porte un regard interrogateur et méditatif sur une parcelle de terrain vague, chérie par les habitants du quartier Mile-End de Montréal, et connu sous le nom de Maguire Meadows ainsi que Les Champs des Possibles.